Hymenoptera
La question n'est pas nouvelle. L'entomologiste français Antoine Magnan a semé le doute dans les années 1930 en affirmant que le bourdon, trop lourd par rapport à la portance de ses ailes, ne devrait pas pouvoir voler. Et pourtant, il vole! Son secret. Une technique ultraperfectionnée de 200 battements d'ailes par seconde, ou chaque mouvement, en forme de huit, génère des effets d'ascenseur, donnant lieu à un retour sensori-nerveux qui permet au bourdon de se stabiliser et d’ajuster son vol de façon très réactive. Autant de stratégies que les concepteurs de drones ultralégers étudient, sans parvenir encore à les imiter. A.P.
Science & Vie, Octobre 2014.
Flight of the bumble bee
La question n'est pas nouvelle. L'entomologiste français Antoine Magnan a semé le doute dans les années 1930 en affirmant que le bourdon, trop lourd par rapport à la portance de ses ailes, ne devrait pas pouvoir voler. Et pourtant, il vole! Son secret. Une technique ultraperfectionnée de 200 battements d'ailes par seconde, ou chaque mouvement, en forme de huit, génère des effets d'ascenseur, donnant lieu à un retour sensori-nerveux qui permet au bourdon de se stabiliser et d’ajuster son vol de façon très réactive. Autant de stratégies que les concepteurs de drones ultralégers étudient, sans parvenir encore à les imiter. A.P.
Science & Vie, Octobre 2014.
Flight of the bumble bee
A french entomologist had said in the 30's that the bumble bee was too heavy to fly considering the flight lift of its wings. It has been discovered that the wings flap 2oo beats/s and each movement draws an 8 creating a lift effect which allows the insect to stabilize and adjust its flight to perfection. A strategy studied by drone developers yet to be imitated.
Bourdon des champs
Bombus pascuorum
Carder Bumblebee

Au bord de l'étang, les abeilles viennent boire pour apporter de l'eau à la ruche:
The bees flock to the lake to bring water to the hive:
Canada:
Une association d'apiculteurs canadiens font un procès collectif à deux fabricants de pesticides, demandant 400 M de $ en dédommagements pour les dégâts dévastateurs des pesticides neonicotinoides liés à la destruction de leurs colonies d'abeilles.
Le procès a été enregistré au Tribunal de la Cour Supérieure d'Ontario le 2 septembre par deux des plus grands producteurs de miel de l'Ontario, Sun parlor Honey Ltd et Munro Honey. Le jour suivant, l'Association d'Apiculteurs de l'Ontario a publiquement fait part du procès et a invité d'autres apiculteurs à y participer. Le 4 septembre, plus de 30 apiculteurs les avaient rejoints.
...Ces dernières années, les chercheurs ont défini les causes principales de l'effondremement des colonies (Colony Collapse Disorder: CCD), un phénomène traduit par l'abandon des abeilles de leurs ruches et qui meurent pendant l'hiver. Grâce à leur pollen, les abeilles fécondent 1/3 de l'approvisionnement alimentaire mondial depuis 130 plantes différentes - récolte estimée à 15 M de $ par an. Les effets du CCD ont sonné l'alarme dans les hautes sphères du gouvernement et de l'industrie.
Non seulement cela affecte d'autres animaux et plus particulièrement les oiseaux, mais l'éfficacité de ces pestides n'aurait jamais été prouvée.
* Voir l'article en anglais sur Natural news
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Canadian beekeepers have filed a class-action lawsuit against two
pesticide manufacturers, seeking $400 million in damages for the
devastating effects of the neonicotinoid pesticides that have been
linked to the destruction of honeybee colonies.
* Read the original post on Natural news
* Read the original post on Natural news
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